mercredi 18 mars 2015

SPECTACLE DANS UNE DOUCHE

La vérité sur…SPECTACLE DANS UNE DOUCHE
Par France Quenneville, 2 mars 2015.

http://francequenneville.blogspot.ca/2015/03/spectacle-dans-une-douche.html

À l’âge de 18 ans, n’ayant pas financièrement la possibilité d’étudier,  elle est allée vivre une vie monastique pour laïques incluant une action sociale. Elle avait toujours été très spirituelle. Son départ s’est fait presque immédiatement après avoir quitté le foyer familial. Elle sortait d’un environnement où elle avait vécu de grandes responsabilités pour son jeune âge. Comme dans beaucoup de grosses familles, elle avait pris en charge, depuis l’âge de 11 ans et jusqu’à sa majorité, les deux derniers enfants de la famille. Étant la seule fille aînée parmi 4 garçons et un dernier bébé fille, elle s’en était déjà occupée beaucoup depuis son enfance. Après le départ de son père, sa mère s’était retrouvée seule pour élever ses 6 enfants, abandonnée par son mari. Elle était donc une jeune femme très responsable pleine de ressources. Tous la connaissaient comme tel. Car, depuis l’âge de 8 ans, elle faisait l’épicerie pour toute la famille (8 personnes) toute seule. Elle faisait, toute seule, toutes les transactions à la banque pour sa mère, etc. Et, lorsque son père les a abandonnés, sa famille s’est retrouvée dans une situation très problématique peu commune où la pauvreté et la misère s’ajoutaient. Elle s’est donc sentie immédiatement responsable des plus jeunes et indispensable pour aider sa mère dans sa lourde tâche.
Mais, des pervers la suivaient à tous les endroits où elle a habitait afin de la diffamer, de la harceler, la faire harceler aussi par les autres, la détruire et la torturer à distance à son insu ce, sans qu’ils se fassent remarquer.
Ainsi, au milieu des années 70, son voisin d’enfance, un ventriloque depuis sa jeunesse, est même allé séjourner à la communauté de base où cette jeune femme de 18 ans était allée vivre sa spiritualité. Lui, s’est affiché. Il se trouvait à être un simple « visiteur » à l’accueil. Il avait manifesté un certain intérêt spirituel. Il a été accueilli en tant que personne en difficulté. D’ailleurs, on avait remarqué, chez lui, certains troubles de comportement. Il a habité ce foyer de groupe pendant quelques semaines, seulement.
Contrairement à lui, cette jeune femme était engagée, pendant environ de 2 ans, comme membre à part entière de cette communauté qui avait pour principes de base : l’action de louange, l’épanouissement intérieur et l’accueil. Elle y était donc bénévole, comme les autres membres, pour réaliser l’action sociale de réinsertion socioprofessionnelle effectuée auprès des jeunes délinquants de 13 à 18 ans présentant des problèmes socio-affectifs. Par la suite, l’action sociale a évolué vers une action auprès des handicapés intellectuels adultes. Les derniers mois qu’elle habitait là, elle avait le titre de « Aînée » qui signifiait qu’elle était la première subordonnée au directeur, coordonnatrice générale de l’établissement. Elle était donc responsable du bien-être spirituel et matériel des autres membres.
Lui, était allé à cet endroit uniquement dans le but de lui faire du mal, de la diffamer,  lui a causer toutes sortes de problèmes ainsi que des blessures. Certaines de ces dernières avaient été si graves qu’elle avait même dû faire un séjour à l’hôpital chez les grands brûlés.
Pendant son séjour à la communauté, le voisin jaloux maladif à l’instinct destructeur ne manquait pas de laisser libre cours à ses fantasmes pervers. Une fois, il a utilisé des jeunes délinquants dans la clientèle à l’accueil de ce foyer de groupe pour satisfaire ses fantasmes. Il s’est arrangé pour faire prendre en photo cette jeune fille de 19 ans alors qu’elle était nue en prenant sa douche. Elle n’avait alors que 19 ans. Elle n’en avait rien su jusqu’à ce que, plus de 20 ans plus tard, un ancien membre de la communauté avec lequel elle était toujours amie lui avoua qu’il avait surpris des adolescents grimpés au dessus de la douche, à cet endroit, pour la regarder prendre sa douche. Ces jeunes faisaient partie de la clientèle qui présentait des problèmes d’ordre socio affectif et dont les membres de la communauté s’occupaient.
Alors, pour l’humilier et lui faire de la cruauté mentale, vers 2010, le ventriloque a fait savoir à cette femme que TOUS les Hells avaient cette fameuse photo d’elle nue dans sa douche en leur possession. Il a même précisé qu’elle était affichée dans tous leurs locaux ou bunkers. Et, il a ajouté qu’il leur avait fait croire que c’était une sorte de spectacle de danseuse nue dans une douche. Il m’a dit aussi qu’il avait vieilli cette femme, en âge. Il avait dû la vieillir aussi sur la photo avec un logiciel de traitement de l’image tel que Photoshop. Car, en réalité, elle avait l’air très jeune pour son âge. Elle avait l’air d’une adolescente d’à peine 15 ans lorsqu’elle avait 19 ans. Il a dit que c’était une très belle photo et que tous l’admiraient. Ceci, c’était évidemment, pour la faire sentir honteuse, l’humilier d’avoir été vue dans son intimité, à son insu. C’est du voyeurisme!
Par la suite, ils ont défiguré cette femme et ont mutilé son corps pour ne pas que les gens la reconnaisse. Mais, surtout, pour ne pas que les Hells sachent que celle qu’on appelle madame France est bel et bien la belle fille de la photo qui était nue dans sa douche.
Aujourd’hui, ils torturent encore cette femme qu’ils ont diffamée à l’extrême. Et eux,  ont la paranoïa facile. Le ventriloque, lui, avec son argent et celui de son père décédé, s’est payé des instruments de torture du moyen âge avec la haute technologie d’aujourd’hui, simulant ainsi leur manières de faire de l’époque. C’est, d’ailleurs,  l’un de ses fantasmes. Il a effectué des recherches sur le sujet pour choisir les instruments qui l’inspiraient le plus, tels que la « poire d’angoisse », par exemple.
Lui et son principal complice, le Mohawk, lui font subir des sévices cruels, 24/24 h, 7/7 jours ce, avec un délire de grandeur. La quantité des gestes posés est gigantesque, le nombre de sévices en simultané aussi. Et, l’intensité dépasse de loin les standards du Mind Control, harcèlement électronique et torture. Le tout se passe de façon continue. Le mur de brique de la maison était même sur le point de tomber tellement les charges électromagnétiques ont été puissantes. Les propriétaires ont dû le faire refaire, sans connaître, bien sûr, les vraies raisons de la faiblesse de ce mur. Après la réparation, des ouvriers sont venus simplement pour creuser des petits trous dans le ciment à joint de ce mur. Comme je savais que les rayons pénètrent bien mieux lorsqu’ils traversent des orifices, j’ai tout de suite su que ces travailleurs étaient complices. Ce ne sont pas tous les murs de brique qui ont ce genre de trous. De plus, j’ai remarqué, qu’on en avait fait en avant juste au dessus du plancher du balcon. Cela doit certainement servir les complices d’en face qui habitent à la même hauteur que moi.
Toujours en quête de sensations de plus en plus fortes, ils ont fait toutes sortes de truquages photos et vidéos dégradants pour la faire passer pour tout ce qu’elle n’est pas et n’a jamais été. Mais, le petit jeu de cet homme diabolique a commencé lorsque cette femme était encore une jeune enfant, plus précisément, à 3 ans.


Par France Quenneville, 2 mars 2015.

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